Essai : DS3 Cabriolet
|Ah! Quel bonheur de rouler cheveux au vent, au volant de la Citroën DS3.
Ce séduisant Cabriolet est sympathique, il attire les regards et offre une conduite amusante. Nous connaissons déjà les qualités de la berline de 2010, découvrons dès à présent les atouts de cette version Cabriolet.
Cabriolet, oui… mais pas tout à fait ! Comme la 2CV en son époque, il s’agirait plutôt d’une découvrable. Son toit en toile est actionnable à moins de 120km/h à l’aide d’une télécommande et vient se poser, avec la lunette arrière en verre, sur la plage arrière. Dès lors même si le volume du coffre ne s’en trouve pas réduit, la visibilité, elle, se retrouve lésée et il n’est alors plus possible d’utiliser le rétroviseur intérieur. Un peu handicapant en ville.
En sillonnant les routes de campagne par contre, on ne se pose plus la question puisqu’il est temps de bousculer un peu la Citroën Ds3 Cabriolet… Des suspensions fermes, une direction pleine de précision et un comportement dynamique. Son petit 1.6l turbo manque cependant de caractère, malgré de bonnes accélérations et des reprises pertinentes, La Citroën DS3 n’a vraisemblablement pas l’âme d’une sportive.
Sur l’Autoroute, la DS3 Carbriolet fait une fois encore montre de ses qualités, puisque bien insonorisée, les bruits se font très rares, et ce même en s’approchant des 150km/h. De plus elle sait rester constante en toutes circonstances. Tout comme en ville, où l’on retrouve une voiture vive et élégante, même si en basse vitesse et sur revêtement dégradé les suspensions se montrent vraiment sèches, peut-être à cause de ses pneus tailles-basses.
En conclusion, la DS3 en version Cabriolet n’a rien perdu de son look aguichant et de son peps, ses lignes restent les même que la DS3 classique à l’exception de ses optiques arrières 3D à LED.